L’USINE À MUSIQUE PRÉSENTE HEADCHARGER ET NEWTT EN CONCERT
Headcharger:
Seize ans après ses débuts marqué par une empreinte aussi hardcore que hard rock, le groupe Normand se tourne vers des ambiances plus stoner avant d’élargir à nouveau son spectre sonore grâce à l’apport de riffs et d’ambiances empruntés à ce que les années 90 ont pu offrir de meilleur. Rise from the Ashes marque à la fois le retour de la formation sur le devant de la scene et l’arrivée de deux nouveaux membres venus apporter un regain de fraîcheur.
David Vallée (guitare – chœurs) et Antoine Cadot (batterie) rejoignent donc Sébastien Pierre (chant), David Rocha (guitare) et Romain Neveu (basse) pour former cette nouvelle mouture, encore plus solide et plus rock.
Headcharger profite de ce nouveau souffle pour composer de manière collégiale. Le résultat n’en est que plus cohérent et plus puissant. Rise from the Ashes est le pont parfait entre son « The End Starts Here » de 2011 et « Hexagram » sorti en 2017. Un album aussi sombre que lumineux, son chanteur ayant puisé son inspiration dans les épreuves personnelles traversées ces dernières années avant d’en ressortir à la fois grandi et plus vivant que jamais. L’introspection avant l’éclosion… avant l’explosion.
Car si Headcharger assume comme à l’accoutumée ses refrains accrocheurs aux lignes vocales mélodiques imparables (un travail à deux voix réalisé avec David, certes nouveau guitariste dans le groupe, mais aussi ancien chanteur de Noïd), il développe une puissance de feu digne d’un phoenix qui vient de renaître de ses cendres pour rayonner mieux que jamais. Tiens donc ?
L’écoute de Magical Ride en ouverture d’album illustre parfaitement ce propos en vous agrippant dès les premières secondes pour ne plus jamais vous lâcher. Bienvenue dans un voyage sous le signe de la saturation et des refrains accrocheurs. Dix chansons balancées avec ferveur, sans jamais relâcher la pression, sur lesquelles le combo ne cache pas son amour immodéré pour des groupes comme les Foo Fighters (le riff principal de My Chains) ou Soundgarden (l’écoute de Death Sound évoque le meilleur de « Superunknown » du groupe originaire de Seattle).
https://youtu.be/6Gu2Y7M1RWQ
https://www.facebook.com/headchargerband
Seize ans après ses débuts marqué par une empreinte aussi hardcore que hard rock, le groupe Normand se tourne vers des ambiances plus stoner avant d’élargir à nouveau son spectre sonore grâce à l’apport de riffs et d’ambiances empruntés à ce que les années 90 ont pu offrir de meilleur. Rise from the Ashes marque à la fois le retour de la formation sur le devant de la scene et l’arrivée de deux nouveaux membres venus apporter un regain de fraîcheur.
David Vallée (guitare – chœurs) et Antoine Cadot (batterie) rejoignent donc Sébastien Pierre (chant), David Rocha (guitare) et Romain Neveu (basse) pour former cette nouvelle mouture, encore plus solide et plus rock.
Headcharger profite de ce nouveau souffle pour composer de manière collégiale. Le résultat n’en est que plus cohérent et plus puissant. Rise from the Ashes est le pont parfait entre son « The End Starts Here » de 2011 et « Hexagram » sorti en 2017. Un album aussi sombre que lumineux, son chanteur ayant puisé son inspiration dans les épreuves personnelles traversées ces dernières années avant d’en ressortir à la fois grandi et plus vivant que jamais. L’introspection avant l’éclosion… avant l’explosion.
Car si Headcharger assume comme à l’accoutumée ses refrains accrocheurs aux lignes vocales mélodiques imparables (un travail à deux voix réalisé avec David, certes nouveau guitariste dans le groupe, mais aussi ancien chanteur de Noïd), il développe une puissance de feu digne d’un phoenix qui vient de renaître de ses cendres pour rayonner mieux que jamais. Tiens donc ?
L’écoute de Magical Ride en ouverture d’album illustre parfaitement ce propos en vous agrippant dès les premières secondes pour ne plus jamais vous lâcher. Bienvenue dans un voyage sous le signe de la saturation et des refrains accrocheurs. Dix chansons balancées avec ferveur, sans jamais relâcher la pression, sur lesquelles le combo ne cache pas son amour immodéré pour des groupes comme les Foo Fighters (le riff principal de My Chains) ou Soundgarden (l’écoute de Death Sound évoque le meilleur de « Superunknown » du groupe originaire de Seattle).
https://youtu.be/6Gu2Y7M1RWQ
https://www.facebook.com/headchargerband
NewTT: rock core toulousain
Face au gouffre, l’inéluctabilité, un petit être insipide tient bon et s’élance frénétique et convaincu. Inconnue de tous, toujours donnée perdante, NEwTT est l’étincelle dans l’obscurité. La plume qui fera pencher la balance en temps voulu. L’heure n’est pas encore à la révolution, mais à l’éveil. NEwTT fera sa part, qui fera la sienne ?
https://www.youtube.com/channel/UCzySeGjXN2u-TGnfVj4baCg
https://www.facebook.com/pg/NEwTTband
Face au gouffre, l’inéluctabilité, un petit être insipide tient bon et s’élance frénétique et convaincu. Inconnue de tous, toujours donnée perdante, NEwTT est l’étincelle dans l’obscurité. La plume qui fera pencher la balance en temps voulu. L’heure n’est pas encore à la révolution, mais à l’éveil. NEwTT fera sa part, qui fera la sienne ?
https://www.youtube.com/channel/UCzySeGjXN2u-TGnfVj4baCg
https://www.facebook.com/pg/NEwTTband
START 20:30
BILLETTERIE
Préventes : 13€
Sur place : 15€
Préventes : 13€
Sur place : 15€
ACCES
L’USINE A MUSIQUE �(à taper dans ton GPS)
Urban Village – Rue Louis Bonin 31200 TOULOUSE��
400 places de parking
Bus 110, depuis barrière de paris (dernier bus à 20h), arrêt Laurencin à 8 min à pieds
Bus L1 depuis la ville (dernier bus à 00h45) arrêt sept deniers Salvador Dali à 10 min à pieds
Piste cyclable le long du Canal du Midi
L’USINE A MUSIQUE �(à taper dans ton GPS)
Urban Village – Rue Louis Bonin 31200 TOULOUSE��
400 places de parking
Bus 110, depuis barrière de paris (dernier bus à 20h), arrêt Laurencin à 8 min à pieds
Bus L1 depuis la ville (dernier bus à 00h45) arrêt sept deniers Salvador Dali à 10 min à pieds
Piste cyclable le long du Canal du Midi